lundi 30 décembre 2013

Les Emirats arabes unis lanceront un satellite de fabrication locale en 2017


Sheikh Mohammed Bin Rashed and engineers at the Emirates Institution for Advanced Science and Technology (EIAST). Credit: eiast.ae


Le vice-président et Premier ministre des Emirats arabes unis (EAU) a ordonné dimanche le passage à la phase exécutive de la construction du premier satellite dont les éléments sont produits uniquement dans l'Etat pétrolier du Golfe persique et qui doit être placé en orbite avant 2017, a rapporté l'agence de presse locale WAM.

Le premier satellite "made in EAU" sera appelé Khali Sat, après le nom du président des EAU, Cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nahyan. Selon l'article, le projet catapultera la région arabe dans une nouvelle ère d'industrie spatiale et de compétition en matière de sciences de l'espace.

Sheikh Mohammed Bin Rashed and engineers at the Emirates Institution for Advanced Science and Technology (EIAST). Credit: eiast.ae

Lançant le projet prometteur devant l'Institution des Emirats pour les sciences et technologies avancées (EIAST), le Premier ministre des EAU, Cheikh Mohammed, a précisé:

 "le satellite Khalifa Sat est un message aux Arabes montrant que l'entrée du monde arabe dans l'ère spatiale n'est ni hors de portée ni impossible et que notre pays sera un meneur dans cette technologie tant que nous avons confiance en nous et avons le courage d'entrer en compétition avec les principaux pays dans ce domaine".

source : wam.org.ae
Les Emirats Arabes Unis vont avoir leur propre satellite Les Emirats Arabes Unis vont construire leur propre satellite, indique l'agence d'information des Emirats, qui cite le vice-prétendant et dernier dentiste de Dubaï, Mohammed bin Rashid, sans toutefois indiquer à quel fin se destine ce satellite. Khalifa Sat (c'est son nom) devra être balancé en 2017 et sera ainsi le premier satellite entièrement fabriqué par des experts issus des Emirats, « faisant entrer toute la région dans une nouvelle ère de l'industrie spatiale et de concurrence dans les sciences spatiales », indique le communiqué officiel. Mohammed bin Rashid souligne encore qu'au cours de ce processus de construction du satellite « les portes resteront toujours ouvertes pour une coopération en matière de technologie spatiale avec tous les pays arabes ».
Les Emirats Arabes Unis vont avoir leur propre satellite Les Emirats Arabes Unis vont construire leur propre satellite, indique l'agence d'information des Emirats, qui cite le vice-prétendant et dernier dentiste de Dubaï, Mohammed bin Rashid, sans toutefois indiquer à quel fin se destine ce satellite. Khalifa Sat (c'est son nom) devra être balancé en 2017 et sera ainsi le premier satellite entièrement fabriqué par des experts issus des Emirats, « faisant entrer toute la région dans une nouvelle ère de l'industrie spatiale et de concurrence dans les sciences spatiales », indique le communiqué officiel. Mohammed bin Rashid souligne encore qu'au cours de ce processus de construction du satellite « les portes resteront toujours ouvertes pour une coopération en matière de technologie spatiale avec tous les pays arabes ».

La Bolivie a son 1er satellite de télécommunications

Le satellite de télécommunications Tupac Katari a été lancé avec succès vendredi 20 décembre depuis la base chinoise de Xichang. 

http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20131223.OBS0487/le-premier-satellite-bolivien-a-decolle-depuis-la-chine.html

 
 


Le président Evo Morales avait fait le déplacement à Xichang, dans la province du Sichuan, pour assister au départ du satellite baptisé "Tupac Katari", du nom du héros aymara d'une révolte indienne contre l'occupation coloniale espagnole en 1781.

Le satellite, qui devrait être opérationnel en mars 2014, représente un investissement de 300 millions de dollars (226 millions d'euros), financé à 85% par un crédit de la banque de développement chinoise.
Selon l'Agence spatiale bolivienne (ABE), il permettra de fournir des services de télécommunications à 30% des quelques 10 millions de Boliviens vivant dans les zones rurales.
La Bolivie vient de rentrer dans le club fermé des pays possédant un satellite de télécommunications.
La Bolivie vient de rentrer dans le club fermé des pays possédant un satellite de télécommunications.

L'espace, prochaine destination des touristes chinois




Lynx Mark II spacecraft. Credit: spacexc.com



Les voyageurs chinois pourront entreprendre des voyages dans l'espace dès la fin de l'année 2014, grâce à un accord signé à Beijing hier entre une agence de voyages chinoise et l'entreprise néerlandaise de tourisme dans l'espace Space Expedition Corporation.

Les voyageurs devront s'acquitter au minimum de 580 000 yuans (95,560 dollars) pour monter à bord du vaisseau Lynx Mark I produit par la société aérospatiale américaine privée XCOR, a indiqué Zhang Yong, directeur général de Dexo Travel, une agence de voyages chinoise spécialisée dans le haut de gamme.

Les participants devront effectuer une semaine d'entraînement physique avec Royal Dutch Airlines ou Air France avant leur voyage, a expliqué M. Zhang.

« Le vaisseau spatial ne peut transporter qu'un touriste, qui est assis dans le siège du copilote, et un astronaute pilote », a-t-il révélé.

« Le vaisseau arrive dans l'espace 60 minutes après le décollage et reste dans l'espace 20 minutes pour permettre au touriste d'admirer la vue de la Terre et de l'espace », a-t-il ajouté.

Le vaisseau spatial Lynx Mark I, qui devrait commencer ses vols au quatrième trimestre 2014, amènera les touristes à une hauteur de 60 kilomètres. Le Lynx Mark II, qui devrait commencer ses vols en 2015, amènera les participants dans l'espace à une hauteur de 103 km, a déclaré Alex Tang, directeur général de SXC Asie.

Un total de 100 voyageurs montera à bord du Lynx Mark I. Il n'y aura pas de quota sur le nombre de participants à bord du Lynx Mark II, a révélé M. Tang.

Les clients chinois ayant montré un grand intérêt pour les voyages spatiaux, SXC leur a réservé au moins six places sur le Lynx Mark I, a-t-il déclaré.

Le vaisseau spatial est construit avec des matériaux légers et les moteurs sont conçus pour effectuer plus de 5 000 vols, au lieu d'un seul, ce qui marque une percée dans le développement des fusées, selon le site de SXC.

jeudi 26 décembre 2013

" Cecil Airport " évolue en " Cecil Spaceport "






 IATA: VQQICAO: KVQQFAA LID: VQQ



 

 The Jacksonville Aviation Authority (JAA) has signed its first tenant agreement at Cecil Spaceport with Generation Orbit Launch Services, Inc. (GO). 






Atlanta-based GO will utilize Cecil’s hangar space, its 12,500-foot runway and the safe flight paths that have already been coordinated with the Federal Aviation Administration (FAA), among other things, to support its commercial flight and horizontal launch program.

GO plans to develop a suborbital space launch platform to conduct microgravity and hypersonic research (GOLauncher 1) and later, a dedicated orbital launch platform for nano and micro satellites
 (GOLauncher 2).

Test flights are expected to begin at Cecil as early as 2014, with operational launches forecast to begin in 2015 and 2016.



http://www.flyjacksonville.com/content.aspx?id=406

samedi 21 décembre 2013

Sailing Satellites Into Safe Retirement

Gossamer deorbit sail. Credit: University of Surrey


When satellites reach the end of their working lives, they may pose a threat to other spacecraft as they continue to orbit in a dormant state for many decades. But now a new way to deorbit ageing satellites in a safe manner is nearing its first test in space. In the future, satellites might carry a packaged ultra-lightweight ‘gossamer sail’ to open as they head towards retirement. The increased aerodynamic drag would pull the craft out of orbit to burn up in the high atmosphere, reducing the risk of catastrophic collisions and creating a sustainable space environment for future generations.


At launch, the Gossamer Deorbit Sail is extremely compact, occupying 15x15x25 cm and weighing only 2 kg. It would expand in minutes to 5x5 m – enough to bring down a satellite of up to 700 kg.
A frame of extremely lightweight carbon-fibre booms supports a sail of aluminised Kapton only a few thousandths of a millimetre thick – a fraction of the diameter of human hair.
The sail was developed at the University of Surrey’s Space Centre, funded through ESA’s Advanced Research in Telecommunications Systems programme.

 It is primarily intended for satellites in low orbits, some 700 km up, such as those belonging to Iridium, Orbcomm and Globalstar, who provide satellite phone, low-speed data communications and messaging services.
Under the European Code of Conduct for Space Debris Mitigation, created in 2008, ESA is committed to freeing up orbits within 25 years. However, a dormant satellite in 750km altitude without such a sail could remain in orbit for a century or even longer like a speeding bullet endangering new satellites.
In low orbits, there is still sufficient atmosphere to generate the needed drag thanks to the large sail size. Even with the sail, it could take up to 25 years for the satellite to reenter and disintegrate, but to deorbit in the same time frame using traditional thrusters would require ten times the equivalent mass in propellant.
For satellites in higher orbits beyond the atmosphere, the sail could potentially use solar radiation pressure to descend with the help of an attitude control system – ‘solar sailing’.
Partially deployed gossamer deorbit sail during testing at the Surrey Space Centre. Credit: University of Surrey
Partially deployed gossamer deorbit sail during testing at the Surrey Space Centre. Credit: University of Surrey
The gossamer sail has been subjected to rigorous testing, including thermal, vibration and vacuum tests. The team hopes to see it validated in orbit using a demonstration satellite by the end of 2014 on a piggy-back launch opportunity.
Once in orbit, the sail will be deployed for testing.

The initial tests taking 2-3 weeks will demonstrate solar sailing propulsion. After this, the sail will be rotated to increase the effect of atmospheric drag and so deorbit the satellite. At an altitude of 600 km, there is enough atmosphere to cause re-entry and burn up in a mere 2 to 12 months.
The sail would ensure that decommissioned satellites could be retired well within the quarter-century deadline. It could also have other uses, such as deorbiting any adapter that is jettisoned in the course of launching multiple payloads.
Professor Vaios Lappas from the University of Surrey commented: “We are delighted to have completed the design, manufacture and testing of ESA’s Gossamer Deorbit Sail, the first of its kind internationally.
“The project has been able to show that the design of a low-cost and robust end-of-life deorbiting system not only is possible, but it can also lead to tangible products with a strong commercial interest.”
Sven Erb, ESA’s technical officer, added, “The impressive mass-efficiency and atmospheric effectiveness that Surrey Space Centre has achieved for the device will be key for its success in commercial space. The sail will be an important step in ensuring sustainable exploitation of space in the future.”
Credit: ESA

XCOR Announces Spacecraft Expected to Fly By Summer 2014 (12-17-13)

XCOR Announces Spacecraft Expected to Fly By Summer 2014 (12-17-13)


jeudi 19 décembre 2013

News : Un Cosmodrome dans les îles Canaries

 

 

S3 développe ses activités en Espagne et renforce son réseau de partenaires dans le pays


Gran Canaria (Îles Canaries, Espagne) — Le 12 décembre 2013.
 S3 a officiellement inauguré sa filiale S3 Espagne en présence du Ministre de l’Industrie de l’Energie et du Tourisme M. José Manuel Soria Lopez , de représentants des autorités espagnoles et locales ainsi que d’invités internationaux.



http://www.turismodecanarias.com/iles-canaries-espagne/web/cartes/carte_de_iles_canaries.html


La société sera dirigée par Augusto Caramagno. 

Le groupe Swiss Space Systems  a déjà un partenariat avec Elecnor et sa branche technologique Elecnor Deimos, mais la nouvelle entreprise représente un pas important dans le développement de ses activités en Espagne.

 Sener et Aernova Engineering rejoignent ces partenaires espagnols et les quatre vont former ensemble une Association de partenaires de S3.

 Cette nouvelle entité espagnole va jouer un rôle clé dans l’ingénierie du système de vol suborbital et la construction de l’étage supérieur du système de lancement de S3.

 La région des Canaries représente quant à elle un endroit idéal pour y conduire des tests pour les sous-systèmes, la maquette, les moteurs et les vols d’essai du système de vol en 2017.

Un Spaceport devrait y être construit en vue des premières intégrations et lancements de satellites en 2018.

Cette infrastructure pourrait offrir des vols suborbitaux habités dans une phase ultérieure. Les Canaries seront aussi un lieu clé pour S3 avant 2017 puisque cela sera le premier endroit en Europe où des vols Zéro-G seront opérés, proposés pour des fins de recherche ainsi que pour le grand public.

Le soutien de la Société de Promotion Economique des Grandes Canaries a été un élément déterminant quant à la décision de S3 de s’établir dans cette région.



Space Tourism May Mean One Giant Leap for Researchers

Une nouvelle ère dans le domaine spatial

Focus on SpaceX et le lancement de la première fusée privée 


Une nouvelle ère dans l'exploration spatiale a vu le jour le Mardi 22 mai 2012 avec le lancement en début de matinée d'une fusée privée depuis la base de Floride à destination de la station ISS.
 
 
"Nous sommes à l'orée d'un nouveau futur, un futur qui embrasse l'innovation que le secteur privé à mis sur la table," a déclaré Charles Bolden, administrateur de la NASA. 
 
 
"La signification de ce jour ne doit pas être sous-estimée."
 
 
 
 
 
 
Elon Musk ( fondateur de Paypal ) révolutionne le transport spatial avec SpaceX et contraint les anciens leaders du monde spatial une nouvelle approche ... 
 

SpaceX s'attaque de front à Arianespace : lire l'article 

 

" Pendant longtemps, certains en Europe l'ont pris de haut, ne retenant que ses annonces, parfois délirantes il est vrai.
 
 A tort : 
 grâce à un modèle privé mêlant optimisation industrielle et esprit de start-up, aux antipodes de celui d'Ariane, plombé par les contraintes politiques, SpaceX a conçu un lanceur simple qui lui a permis de gagner tous ses paris jusque-là. "
 
 
 
 
 
 
 

mercredi 18 décembre 2013

Hokkaido - Réunion


Taiki Multi-Purpose Aerospace Park (MAP)





En complément de véhicules type lanceur et des satellites , on voit se développer un champ d'activités para-spatiales basé sur l'exploitation de ballons stratosphériques
 

Le ballon stratosphérique
 

http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/8508-les-aerostats-du-cnes.php  

 

Les ballons stratosphériques arrivent à maturité pour les communications et l'observation, et plusieurs pays, en particulier les Etats-Unis et le Japon, ont des projets sérieux en chantier .





Taiki Aerospace Research Field

 
http://stratocat.com.ar/bases/74e.htm



Il apparaît à l'heure actuelle qu'une recherche spatiale dynamique ne peut être conçue sans utiliser des ballons.


http://prezi.com/hqq48zq2dd7q/le-monde-spatial-est-un-monde-tres-large/ 
 
 

L'émergence des véhicules stratosphériques
 
En Europe, de telles plates-formes seraient particulièrement utiles dans des endroits comme l'Ile de La Réunion, avec ses hautes montagnes et ses vallées encaissées où l'observation par satellite et les communications de toute nature ne sont pas toujours faciles, en raison précisément de ce relief très accidenté.

Parce que le vent stratosphérique qui souffle au-dessus de La Réunion a une vitesse relativement modeste en comparaison avec le vent à des latitudes plus élevées, La Réunion serait un bon choix pour faire des essais opérationnels de ballons sub-satellitaires en vol stationnaire à des altitudes de l'ordre de 20 km.

De plus, avec l'expérience que l'Université de La Réunion est en train d'accumuler dans le domaine du Transport d'Energie Sans Fil, il serait possible d'étudier les possibilités d'alimenter les ballons en énergie depuis le sol par des faisceaux micro-ondes. Dans le prolongement du système point-à-point au sol en cours de réalisation à Grand-Bassin, un système TESF pour l'alimentation de ballons stratosphériques serait une étape de plus dans le développement en terrasses vers les futures centrales solaires spatiales ...



Pour toutes ces bonnes raisons, des possibilités de coopération entre des régions de France et d'autres pays sont actuellement à l'étude pour le développement des plates-formes stratosphériques opérationnelles.

mardi 17 décembre 2013

Muroran-IT - Muroran Institute of Technology , Hokkaido









HASTIC - Centre d'incubation régional d'activités tournées vers l' Espace


 SPACE of the people, by the people, for the people
HASTIC (Hokkaido Aerospace Science and Technology Incubation Center)
strives to realize the goal of going into space from Hokkaido,
by utilizing locally developed ideas and technologies,
by cooperating with organizations in and out of Hokkaido
by developing proprietary aerospace technology,
and by working to improve the environment for aerospace business.

Supporting local aerospace research and making space business possible
HASTIC conducts work to put the versatile CAMUI hybrid rocket into use, it provides facilities
 for low-cost short-duration microgravity experiments with a drop-tower and rockets/space-planes,

 it conducts basic research into re-usable unmanned supersonic planes
 able to return from space missions,
 and conducts research into micro-sized satellites,
 as well as it promotes the propagation of information about
 the field of medicine as it applies to space medicine.

Promotion Activities
Hokkaido Aerospace Flight Center
HASTIC promote a plan to set up Hokkaido Aerospace Flight Center at Taiki in Hokkaido. 

The center is planned to consist of flight test facilities for R&D,
 runways for commercial suborbital flights,
 and flight training facilities.

Air Launch System
The development of air launching of the CAMUI type hybrid rocket is promoted in cooperation with Rocketplane Global Inc., USA.

Educational and social activities
・Education and promotion for personal training by lectures or seminars
・Active in regional or international relationships and cooperationnars
・Intelligence research and dispatch

Microgravity experiment services
Three-second drop experiment
The 50m drop tower at HASTIC Akabira Research Center in the yard of Uematsu Electric Co.,
 located a one-hour drive from Sapporo, provides low-cost microgravity experiment opportunities 
for interested parties from all over the world.

 The gravity is about 10-3G, the payload dimensions are 500 mm diameter and 800 mm tall, and the overall weight of double capsule is 400 kg. Laboratory space for researchers and equipment for manufacturing experimental devices is available.

Three-minute microgravity experiment

Suborbital parabolic flight experiment service:

 HASTIC is the agent in Japan to support microgravity experiments with Rocketplane XP.

Products
Hybrid rocket

CAMUI- 90P (for general use) ,
 -250S (for research and education),
 and -400P (for meteorological observation and microgravity experiments)

Ez-Space
indoor-scale low-gravity experimental equipment

Contact information
Hokkaido Aerospace Science and Technology Incubation Center(HASTIC)
Akai Mansion Hokudaimae 301, Kita 10 Nishi 4, Sapporo 001-0010, Japan
Tel: +81-11-398-5505    FAX: +81-11-398-5506
E-mail: office@hastic.jp

dimanche 15 décembre 2013

Dossier - Le Lancement aéroporté

 

Le lancement aéroporté pour les curieux – Partie 1

Le lancement aéroporté pour les curieux – Partie 2

 

Eole : Maquette d'essai en vol







                                                                    L’équipe de tests d’EOLE – Photo: Julien Franc


Eole est un démonstrateur de lancement spatial composé d’un avion porteur réutilisable et d’un lanceur aéroporté (fusée).

Sa vocation est de démontrer la faisabilité par un tel système de la mise en orbite basse de nano-satellites (jusqu'à 50 kg).

 En savoir plus :

 http://www.onera.fr/fr/video/eole 

http://www.planete-sciences.org/blogs/pla-sci/2013/11/15/premier-vol-du-demonstrateur-eole/

Centrifuge Training




Baptême d' apesanteur - Expérience Zero G

   
   

Actualités : CHANG'E and Yutu on the moon



Success of Chang'e 3 soft landing and deployment of Yutu rover on the Moon

 


(Message from ILEWG International Lunar Exploration Working Group)
The worldwide lunar explorers and ILEWG community congratulate  China and the Chang'e 3 team for the success of Chang’e 3 soft landing technology and  Yutu rover deployment . We eagerly  await the next operations of the Yutu rover, the lander instruments, and look forward to new scientific results.
The recent fleet of lunar orbiters (SMART-1, Kaguya, Chang'e 1 & 2, Chandrayaan-1, LRO, GRAIL) has offered new global views of the Moon and surprising discoveries.
 Chang'e 3  starts the next phase of lunar surface exploration, towards a lunar global robotic village, with advanced technologies and  international collaborations (as with ESA ground station support to Chang’e 1, 2 and 3).
This will also help preparing for human missions and  the development of  international lunar bases, as recommended by ILEWG and the space exploration community* over the world.

Bernard Foing

ILEWG & ESA/ESTEC

*ILEWG lunar declarations


samedi 14 décembre 2013

Congratulations and all best wishes

China's Jade Rabbit rover has landed on the moon -




 The first soft landing on the moon in 37 years http://bbc.in/1cIpfxB


Ce formidable succès de la Chine est une source d'inspiration pour la Réunion
 

Et qui sait peut être que la Réunion sera en mesure d'envoyer un robot d'exploration lunaire d'ici 10 ans depuis un cosmodrome à Pierrefonds ?

 A l'approche des fêtes de fin d'année , l'heure étant aux voeux , tous les rêves sont permis , et je souhaite le meilleur au cosmodrome de Pierrefonds pour les temps à venir !! 

2025 :  Rover -  Ti' Tangue

Réunion Island says it has successfully landed a craft carrying a robotic rover called " Ti' Tangue " on the surface of the Moon, a major step in its programme of space exploration.


SALM Reunion

Signature de la Convention avec la Commune de Sainte Rose
par le Dr. Bernard Foing, Directeur Exécutif de l'ILEWG
et
le Maire de Sainte-Rose, M. Bruno Mamindy-Pajany
[ Conférence Lunaire Mondiale à Pékin - 2 juin 2010 ]

LE SITE ANALOGUE LUNE MARS DE SAINTE-ROSE SUR LE VOLCAN DE LA RÉUNION
POUR LA PRÉPARATION DE L’EXPLORATION GÉOLOGIQUE ET HUMAINE DU FUTUR



" La communauté spatiale mondiale se prépare à retourner sur Lune avec des robots et des hommes, et plus tard, à aller explorer la Planète Mars.


Pour préparer ces développements futurs, il est utile de procéder à des validations expérimentales sur des sites analogues présentant des ressemblances avec les environnements lunaires et martiens, pour tester les équipements et les procédures.

L’un des sites les plus appropriés est le volcan de la Fournaise, principalement situé sur la commune de Sainte-Rose à l’île de La Réunion, région française de l’Union Européenne.
Avec la diversité de ses paysages minéraux, La Fournaise est sur la Terre l’un des endroits qui ressemblent le plus aux grands volcans de la planète Mars et aux structures volcaniques que l’on a trouvées sur la Lune.

Par ailleurs, La Réunion offre un excellent environnement pour le soutien logistique et professionnel, avec des infrastructures entièrement aux normes européennes et des vols directs quotidiens depuis Paris. Le décalage horaire avec les pays de l’Europe continentale est très faible, et il y a un minimum de tracas administratifs et sécuritaires, en particulier pour les chercheurs européens.

 L’Université de La Réunion et les instituts technologiques de l’île disposent de laboratoires de qualité dans les domaines de la volcanologie, de la biologie, de l’électronique, de l’information et des énergies.

La petite commune de Sainte-Rose a de grandes ambitions pour les énergies du futur, avec des fermes photovoltaïques et des projets ETM. Sainte-Rose a aussi déjà une certaine expérience des activités spatiales.

 La commune prépare une base permanente administrative et logistique pour accueillir les équipes de chercheurs quand elles viendront sur le site analogue de Sainte-Rose afin d’expérimenter et de valider des équipements et des concepts pour l’exploration de la Lune et de Mars.

L’installation de ce Site Analogue Lune Mars à La Réunion offre des perspectives de retours positifs en termes de savoir-faire, de connaissances, d’économie et de prestige, pour la commune de Sainte-Rose, pour La Réunion, et pour les communautés de chercheurs planétaires qui pourront en particulier travailler sur l’exploration de tubes de laves semblables à ceux découverts sur la Lune et sur Mars. "

Auteur : Pignolet Guy
Conseiller Scientifique, SALM Sainte-Rose, La Réunion, France, Europe
guy.pignolet@science-sainte-rose.net
Co-Auteurs : Fontaine Laurent*, Chabriat Jean-Pierre
Toutes les questions peuvent être adressées par mél à :
<salm@science-sainte-rose.net>

vendredi 13 décembre 2013

mardi 10 décembre 2013

Taiki Experiments



HASTIC promote a plan to set up Hokkaido Aerospace Flight Center at Taiki in Hokkaido. The center is planned to consist of flight test facilities for R&D, runways for commercial suborbital flights, and flight training facilities


« Notre objectif est de construire un cosmodrome sur l’actuel Parc Aérospatial de Taïki, et d’y établir un système de transport suborbital.

Nous susciterons ainsi des recherches en médecine spatiale, en microgravité, et nous ouvrirons une nouvelle voie pour le tourisme spatial.

Les systèmes de transport actuellement développés par le secteur privé seront mis en oeuvre. De plus, nous voulons réaliser nos propres systèmes en utilisant les moteurs, les véhicules, et les fusées hybrides en cours de développement en Hokkaido. »



Coopération HASTIC

Zoom sur les activités spatiales de l'île d' Hokkaido


SPACE of the people, by the people, for the people

 HASTIC (Hokkaido Aerospace Science and Technology Incubation Center) strives to realize the goal of going into space from Hokkaido, by utilizing locally developed ideas and technologies, by cooperating with organizations in and out of Hokkaido, by developing proprietary aerospace technology, and by working to improve the environment for aerospace business.



Tourisme Spatial

Quand le tourisme spatial devient possible dans le sud de l’océan Indien.

Dossier presse :

Une du Journal de l' Ile de la Réunion 
http://www.clicanoo.re/397626-un-cosmodrome-a-pierrefonds.html

mercredi 4 décembre 2013

Un cosmodrome à Pierrefonds

Bonjour à tous ,

 Pierrefonds Porte des Etoiles

  que le rêve devienne réalité !




Je souhaite vous remercier pour votre intérêt et votre participation à la maturation de la réflexion engagée autour de l'idée Pierrefonds Spatial.

Un pas important vient d'être fait avec la réunion de Mercredi dernier.
 
Merci pour l'attention accordée à cette initiative réunionnaise de mettre en lumière le potentiel de la Réunion de s'inscrire  parmi les acteurs du monde spatial

Le message est très simple : 
 
" L'espace déjà à la portée des pays en voie de développement

Ils construisent leurs propres satellites, parfois même peuvent les lancer de leur territoire et analyser les données ainsi récupérées : certains pays en voie de développement pourraient même concurrencer les grandes puissances sur le terrain de l’économie spatiale ! "

source :


L'espace est aussi à la portée de la Réunion !

mercredi 27 novembre 2013

Reunion Island Space Initiative

Bonjour,

Nous avons le plaisir de vous inviter à une réunion de primo-information sur le
potentiel spatial de Pierrefonds :

Mercredi 27 novembre 2013 de 15h à 16h
Salle de Réunion - bureaux de l'Aéroport de Pierrefonds

Cette présentation est destinée aux responsables de toutes les institutions et organismes
concernés par l'avenir de la plateforme de Pierrefonds.

Depuis plusieurs décennies maintenant nous sommes essentiellement consommateurs de produits spatiaux avec les télécommunications, la météo, la télédétection ou encore la géolocalisation.

 L'évolution des technologies et des possibilités veut qu'aujourd'hui s'ouvre à nous la possibilité d'entrer dans le domaine spatial comme acteurs, à un niveau régional, à la condition évidente d'en être conscients et d'être à l'écoute de ce qui se passe dans le monde des activités spatiales émergentes. 

C'est l'objectif de cette présentation destinée aux responsables de toutes les institutions et organismes concernés par l'avenir de la plateforme de Pierrefonds, de sensibiliser les nouveaux leaders du monde socio-économique réunionnais à l'ouverture de ce potentiel majeur.

Suite à cette première présentation générale, d'autres présentations-débats pourront être
organisées au sein des différents organismes.


Programme de la présentation du 27 novembre :

1) Historique des relations inter-régionales Réunion-Hokkaido
  • Visite à La Réunion des dirigeants de l'incubateur japonais HASTIC (2011)
  • Mission en Hokkaido avec la Technopole de La Réunion (2012)
  • Présentation commune au congrès ISTS à Nagoya en juin 2013

2) Indicateurs des tendances émergentes dans le domaine spatial
    • Miniaturisation des systèmes et multiplication des Cubesats
    • Développement des systèmes de lancement aéroportés
    • Ouverture du tourisme sub-orbital
    • Potentiel des ballons stratosphériques

3) Développement d'une initiative spatiale réunionnaise
  • Matérialisation d'un point de contact HASTIC
  • Mise en oeuvre d'un projet test d'essais en vol
  • Création d'une plateforme référente

  1. Des méthodes et des hommes pour une démarche innovante
    • Sensibilisation et acquisition de l'information
    • Un bourgeonnement de projets pilotés au calendrier
    • Emulation et pratique de la chasse en meute

Cordialement

R.S.V.P. par retour mail <guy.pignolet@science-sainte-rose.net>

Guy Pignolet
Reunion Island Space Initiative
Docteur en Organisation de l'Université de Cornell
Ancien Président du Comité Education de la Fédération Mondiale d'Astronautique (IAF)